De 18 à 21 cm d'envergure, ce petit passereau se reconnaît à son poitrail orangé, sa silhouette trapue, et sa tête et sa gorge noirâtre. Le mâle possède une tâche blanche plus marquée que la femelle, et à sa tête plus foncée.

Une tâche blanche est également visible sur chaque aile, et le croupion est pâle.

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Répartit sur la plupart de l'Europe, hormis l'Island, la Scandinavie et le Nord-Est du continent, ses populations sont assez claircemées dans le Nord-Ouest de l'Europe.

Il occupe les milieux ouverts tels que les bocages, friches, ajoncs, bouissons, notamment non loin du littoral.

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Espèce sédentaire dans nos régions cette espèce peut être visible toute l'année. Elle déserte le N-E de la France pour rejoindre le littoral.

Certaines populations hivernent sur la partie Sud-Est du Maghreb, tandis que d'autres nidifient dans l'Est de l'Europe.

 

Insectivore, le tarier pâtre se nourrit d'insectes, araignées, vers, etc.

 

Cet oiseau construit son nid à partir d'herbes, de poils et de plumes, avec un tunnel d'accès.

La femelle y dépose 5 à 6 oeufs, entre mai et juillet.

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Le tarier pâtre se perche souvent sur le sommet de plantes, à l'affût des petits insectes rampant ou volant.